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À 2 semaines de la rentrée scolaire, le gouvernement prend un lot de dispositions dont l’obligation de paiement de frais en Franc congolais

À 2 semaines de la rentrée scolaire, le gouvernement prend un lot de dispositions dont l’obligation de paiement de frais en Franc congolais

La ministre de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté, Raïsa Malu, a écrit à tous les directeurs provinciaux de l’éducation pour leur communiquer les nouvelles dispositions prises pour une bonne rentrée scolaire 2024-2023 prévue le lundi 2 septembre 2024.

Parmi ces dispositions, il y a notamment l’obligation de paiement des frais scolaires en franc congolais. Dans une lettre rendue publique ce mardi 12 août 2024, la patronne de l’éducation nationale explique que cette mesure concerne tant les écoles maternelles, primaires des établissements privés, que les écoles secondaires.

« Les frais scolaires (des écoles maternelles, écoles primaires des établissements privés, écoles secondaires) doivent être perçus obligatoirement en monnaie nationale»

Dans une autre paire de manches, Raïsa Malu donne la liberté aux parents de se procurer des uniformes et la tenue de l’éducation physique au marché de leur choix.

Pour cette année scolaire, aucun élève ne sera exclu pour raison de son appartenance ethnique, raciale, religieuse ou pour raison de frais scolaires.

En outre, aucun acompte de frais scolaires ne peut être exigé avant la rentrée scolaire, insiste la ministre de l’éducation nationale et nouvelle citoyenneté qui rappelle que les inscriptions restent gratuites et doivent être faites aux dates fixées par le calendrier scolaire 2024-2025 et « Aucun test d’admission ne doit être organisé pour les nouveaux élèves et aucun frais de confirmation ou réinscription ne doit être exigé aux anciens élèves ».

Dans plusieurs écoles privées ou de l’Etat, les autorités exigent des frais d’inscription d’acompte. Des élèves qui viennent avec leurs uniformes et tenues de sports ne sont pas acceptés. Ils sont obligés d’acheter ceux mis à leur disposition par les bureaux. Ce qui contraint plusieurs élèves par manque des moyens, de participer aux séances de l’éducation physique.

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