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Le coup de gueule du FCC après « spoliation des biens, arrestations arbitraires, tentatives d’assassinat » de ses cadres

Le coup de gueule du FCC après « spoliation des biens, arrestations arbitraires, tentatives d’assassinat » de ses cadres

La famille politique de Joseph Kabila, président honoraire de la RDC, est sortie de son silence jeudi 29 août. Le Front Commun pour le Congo (FCC) s’est exprimé via un communiqué pour dénoncer et condamner une fois de plus « les menaces, intimidations, spoliation des biens, arrestations arbitraires, tentative d’assassinat et assassinats » que subissent ses cadres et d’autres Congolais de la part du régime Tshisekedi.

Dans cette logique, le FCC a déploré des cas d’enlèvement dont sont victimes les résistants et combattants de la liberté d’expression qui lèvent le ton contre la dictature du régime. La famille politique du sénateur à vie accuse le régime de Tshisekedi de transformer l’ANR et la DEMIAP en services propagateurs d’insécurité, contraignant certains de s’exiler ou vivre en clandestinité.

« Le FCC dénonce cette volonté manifeste du régime en place de réduire ses membres ainsi que toute autre voix dissidente au silence et plus largement d’empêcher l’exercice par les Congolais d’exercer leurs libertés fondamentales », fustige le Front Commun pour le Congo qui cite notamment les cas de Papy Tamba, Claude Mashala, Pius Romain Roland, Mike Mukebayi, Gloria Senga, Franck Diongo et d’autres.

Ainsi, la famille politique de Joseph Kabila exige la libération immédiate de ses membres et tous les autres opposants ainsi que les acteurs de la société civile détenus arbitrairement. A défaut de la libération de tous les prisonniers politiques, le FCC dit qu’il tiendra pour responsable le gouvernement de tout drame qui pourrait arriver aux prisonniers politiques.

Par ailleurs, la famille politique de JKK traite le régime de Tshisekedi d’un pouvoir « intolérant, prédateur, corrompu et corrupteur, sans vision ni compétence ». Elle réitère sa détermination à poursuivre son combat de résistance contre la dictature du régime.

Dans son communiqué de plus de 4 pages, le FCC n’a pipé mots quant à la paternité du mouvement politico-militaire Alliance Fleuve Congo (AFC) attribuée à leur leader Joseph Kabila mais il dit plutôt s’inscrire dans la logique de l’article 64 de la constitution.

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